Retour au calme... enfin, presque! [Terminé]

[Revient de la bibliothèque "Découverte dans les livres"]

Après que Ren se soit réconcilié avec Aky, il traîna dans les rues les plus sombres à la recherche d'un foyer. Malheureusement, dans ces ruelles, il y a avait plus de pauvres au coin de rue que de belles maisons de riches. A vrai dire, il voulait plutôt réfléchir à ce qui s'était passé... à son futur, son passé, son présent. Sa tête fourmillait de pensées toutes les unes différentes des autres. Il en avait mal au ventre !
Ren s'arrêta à un croisement : un cul-de-sac devant, une ruelle sale à droite, une infestée de rats. Il opta pour le chemin de gauche, et traversa sur le trottoir. Malheur ! Il se retrouva dans un cul-de-sac. Ren se retourna et se trouva face à un étrange inconnu enroulé dans un imperméable et ayant un chapeau vert...

" Un peu d'argent... "
" Que me vouleaz- vous ?
" Argeeeeent "
" Non... "

L'homme sortit un fling d'une de ses poches à moitié recousues. Il se mit à sourire sadiquement.

" Je veux de l'argent, tu piges ? DU FRIC ! DEPECHE TOI ! "
" Le fait que vous me menaciez avec cette arme ne me fera pas changer d'avis. "
" IDIOT, TA DERNIERE HEURE A SONNE ! "

L'homme appuya sur la manchette, et tira sur le mur à côté de Ren. Ren courrut sur le côté, mais trop tard... l'individu lui tira dans le ventre. Il tomba au sol, l'homme pris son argent et Ren resta au sol, se tordant de douleur...

°Merde... merde... putain, aidez-moi, je vais crever !°

Les mains dans les poches, tête basse, visage pâle, Aky retourner comme chaque soir chez elle par son chemin habituel bien que risquer, les rues sombres.
Passant par les même détours mystérieux, elle passa devant une ruelle qui aux premiers abords été plus normale, quoiqu'ici rien n'était normal.
S'arretant pour observer une scène des plus pitoyables, la jeune fille n'y aurais pas préter plus attention si, la personne a terre n'était pas... Ren ?! Que faisait il ici ? Elle fit un homme se diriger vers elle en train de ranger un porte-feuilles dans son manteau. Elle le regarda étrangement, lorsqu'il la dépassa, elle lui donna un fort coup de pied dans la nuque et l'homme tomba à terre inerte. Son visage était devenu avide et sans expression qui représenter un peu d'humanité. Elle récupéra le porte monnaie et se dirigeat vers Ren, celle-ci n'ayant pas remarqué que quelqun lui avait tirer dessus.
Son visage redevint normal enfin, presque... Aky paniqua, ne sachant quoi faire elle appella l'hopital le plus proche.
[...]
Elle aida Ren à se relever et lui dit pas méchament, mais sur un ton qui laissait comprendre qu'elle était inquiète.

- Mais quesque tu fait là ?! Tu ne sais pas que cet endroit est dangereux ?!

Tout s'était passé vite. L'instant où la balle avait pénétré son ventre, il avait ressentit une douleur profonde, semblable à celle qu'il avait vécu. Après qui soit tombé à terre, se tenant l'estomac, Aky était arrivée vers lui, faisant tomber le voleur au sol. Celle-ci courrut vers lui et apella l'hôpital le plus proche, et elle demanda à Ren que faisait-il là. La douleur était tellement atroce qu'il ne put dire qu'avec plus de difficulté :

" Je... je... n... sa...sav..vais.. p...as... "

L'ambulance mit 4 minutes a arriver, et lorsqu'elle le fit, Ren était déjà tombé dans les pommes. Cependant, avant de tomber dans le coma, il avait dit à Aky de regarder dans sa poche. Et dedant, il y avait tout, tout, tout ce que Ren ne voulait pas avouer : son journal intime ! Il lui avait confié, de peur qu'il meurt. Maintenant, sa peur actuelle était qu'il survive et qu'Aky le laisse tomber pour ce qu'il avait écrit dedans... ce qu'il avait écrit...

Elle aussi fut dépasser par les évènements, tout se qui venait de se dérouler été trop pour elle, gardant au maximum son calme, la remise d'un étrange carnet surprise d'une telle réaction de la part du garçon, elle assis Ren contre un mur et observa l'étrange livret, mais ne l'ouvrit pas. Même si ce n'était pas l'envie qui lui manquer...
L'ambulance arriva enfin, Aky grogna aux ambulanciers.

- Ca va ? Vous ne vous êtes pas trop pressez dites moi...

Elle s'assis à coté de lui dans la voiture et le regarda tristement, tout été arriver si vite, sa rencontre avec lui dans le parc, leurs entrevues à la bibliothèque et maintenant les voilàs tout deux dans cette ambulance roulant vers les urgences...
Elle tenait le carnet, et en avait reconnue un journal intime, cela la rendit génée, mais le seras, car il avait l'air d'y tenir ou alors il lui avait confier car il n'y tenait pas au contraire... tants de questions qui restaient sans réponses...

Même si Ren ne pouvait plus penser, son âme seule voulait qu'Aky ouvre son journal intime, pour découvrir ce qui tourmente ses pensées. C'était l'unique raison pour laquelle il ne voulait pas donner son argent : il aurait eu peur de donner son "âme écrite avec de l'encre". Dans son profond coma, il murmura quelques paroles à peine audibles, mais il dit très distinctement :

" Aky, si je meurs, ne m'oublie pas... Ce carnet, c'est... "

La voiture s'arrêta violement, projettant plusieurs objets en avant de la voiture, cassant le pare-brise. L'ambulance reprit sa route quelques instants plus tard, il poursuivit :

" ... mon âme... prend en soin... comme tu as pris... soin de moi... Aky..."

Se mordant la lèvre inférieure à s'en faire saigner, les larmes aux bord des yeux, elle ne pouvait détachée son regard du visage endormi de Ren, dans les expressions que son visage sembler afficher, l'ont pouvaient ressentir la douleur qu'il éprouvait à cet instant.
De plus, se qu'il venait de dire à l'instant la rendit encore plus frébrile, cela lui rappeler tants de choses...
L'envie de lui mettre un claque, lui pris mais se retiens. Il ne fallait jamais tenir de tels propos en compagnie d'Aky... Elle ne pu s'empécher de dire.

- Personnes de mourras ici ! Tu as compris ? Est-ce-que tu as compris ? Réponds moi...

S'agrippant au col du tee-shirt du garçon retomber dans le coma, une larme se faufilla le long de son visage et tomba sur lui.
Ayant repris ses espris, du moins se qu'elle pu, elle observa une nouvelle fois le journal intime de Ren, elle savait qu'elle le regretterais si il venait à apprendre qu'elle l'avait ouvert mais...
Sur la page ouverte il y avait écrit :

[A toi de me le dire ^^][J'ai déjà fait le topic à l'hopital, comme sa...]

" Cher Journal,

Je commence ce journal pour me confier. A Maman, je ne peux pas, elle va toujours aux casinos, et à Papa non plus, il n'arrête pas d'aller boire. Hier, je l'ai retrouvé endormi dans la voiture, elle était remplie de bouteilles. Et Izumi, elle ne peut pas m'entendre, elle est dans le coma.
Ce sera mon carnet de pensées, et si jamais quelqu'un le lit, je voudrais que ce quelqu'un me sauve de la detresse, me sauve du gouffre, car je touche presque le fond...
[4/03/1997] "

C'était la première du journal intime de Ren, confiant sa douleur la plus profonde. Il avait même écrit que par pitié, qu'on le délivre du mal qui l'entourait. Le jeune garçon, émit un grave signal sur une machine relié par son bras. Au lieu d'un "bip" normal, le "bip" s'allongeait... Allait-il mourrir avant l'arrivée à l'hôpital ? Son destin jouait avec sa vie entiere.

En lisans cela Aky commença à comprendre...
Elle regarda le visage recouvert d'un masque respiratoire, soudain son rythme cardiaque changeat, celui de... Non ! Aky l'avait déjà entendu et une fois lui sufisait, elle fondit en larmes, de cette fois c'était trop.
A présent elle n'avait plus vraiment choix, elle lui mis deux paires de claques, et le jeune homme les ressentit, car l'appareillage redevient normal, enfin presque...
Même si Ren ne pu l'entendre, Aky cria et pensa du plus fort que son coeur le pouvait.

- Tu n'as pas interré mourir, je t'en ferais sortir à coup de pied si il le faut ! Tu m'as compris !!

Elle adressa un regard plein de rage aux ambulanciers.

- Et vous, dépéchez vous un peu ! Vous ne voyez pas qu'il est en train d'agonniser ?! Activez-vous un peu !

La vitesse de la voiture accelera, et Aky le sentit. La jeune fille s'été emporter, mais cela en valait la peine... Elle ne supporterais pas qu'une deuxième personne meure dans ses bras, sans qu'elle ne puisse rien faire...